Témoignages
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Deux enfants, deux Allaitement distincts. Le 1er, un petit gars du nom de Marius, petit gabarit à la naissance mais gros tétouilleur. Le sein était pour lui, source d'apaisement, de câlins, d'endormissement mais aussi source nourricière. Rien ne pouvait perturber ce petit être lorsqu'il tétait. La fin de l'aventure ne s'est pas faite naturellement mais mes ressources étaient tournées vers le petit bonhomme en moi.
Quelques mois plus tard, Léopold est venu au monde et pour lui les tétées étaient synonymes de bons festins. Les tétées câlins, endormissements connus avec son grand frère n'étaient pas ses préférées et donc je suis passée d'un serial tétouilleur à un serial téteur. Léopold a choisi d'arrêter cette aventure lactée vers ses 18 mois, les bons petits plats ayant meilleure augure à ses yeux. Je garde de ces deux aventures, de belles images et ressentis gravés en moi ainsi qu’une belle complicité avec mes deux loulous.
Elsie
ElsieTitre de la diapositive
" Mais tu as toujours du lait ?
Mais quand vas-tu arrêter d'allaiter !
Cela doit te fatiguer !
Maintenant tu es grande, tu ne peux plus prendre le sein de maman !
Maintenant tu es grande, le lait de maman n'est plus bon pour toi !
L'allaitement, pour moi, s'est arrêté après les 4 ans de ma deuxième fille, tout doucement et à sa demande nette, tout naturellement.
Ma première fille a tété plus longtemps que sa petite sœur, elle était dans sa 7ème année quand elle s'est arrêtée d’elle-même. Sur la fin cela devenait occasionnel.
Tout ça pour conclure que le co-allaitement c'est possible !
Que l'allaitement reste et perdure le plus longtemps possible chez les nouvelles mamans. Quoi de plus naturel pour le nourrisson ! "
Corine
BoutonTitre de la diapositive
"Eh bien, je suis assez surprise de ne pas avoir eu d'idées reçues sur la question de l’allaitement. Par contre, j'ai eu l'échos d'une copine dont la mère lui disait d'arrêter de parler en allaitant, car son bébé risquait d'avaler de l'air !
Finalement je n'ai peut-être pas eu d'idées reçues, car je n’ai pas de mère pour m'en dire (NB sa mère était décédée avant la naissance des enfants) ! De plus, j'ai vraiment avancé dans l'allaitement sans avoir rien lu, seulement ce que j'avais entendu à la préparation à l'accouchement et aussi par rapport à ce que m'en avait dit 2 amies. Je crois que je me suis vraiment laissé porter par mon bébé au moment où j'allaitais."
Gaëlle
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"Parce que bien avant qu'il soit né, ma décision était arrêtée :
il sera allaité
Parce que lorsque vinrent les premières difficultés, mille questions je me suis posée :
Pourquoi n'est-ce pas inné ? M'entêter pourrait-il le mettre en danger ?
Parce que pleurer n'a rien changé,
Parce qu'être écouté, conseillé et appuyé, là était la clé,
Parce qu'une fois les problèmes réglés, reste une seule vérité :
Malgré les neuf mois passés à le porter,
Malgré l'accouchement naturel peu médicalisé,
Malgré les heures passées à le regarder somnoler,
C'est bien ma difficulté d'allaiter qui m'a dévoilé le sens caché du mot maternité.
En femme lactée je me suis transformée !
Merci à toutes les petites fées qui m'accompagnent sur le chemin de ma voie lactée ! "
M.
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" Lorsque j'avais des soucis d'allaitement (parce que même puéricultrice, j'en avais !!!), je savais tout de suite où me diriger donc je n'ai pas eu d'expériences négatives. Sauf que quand ma fille ne prenait pas de poids les 1ers temps, j'ai beaucoup entendu dans mon entourage "ton lait n'est surement pas assez nourrissant !"
Personnellement, ma mère a arrêté de m'allaiter vers 3 mois quand le médecin lui a dit que son lait ne devait plus être assez nourrissant, elle qui avait beaucoup de lait et qui était très motivée (bon certes, il y a 36 ans !). Donc, comme c'était un médecin qui lui avait dit, elle en est convaincue et quoique lui dise sa fille, puéricultrice qui a fait une formation d'allaitement en 2009, IL avait raison !!
Autre anecdote, ma belle-sœur, infirmière en pédiatrie dans l’Est, n'a pris que 15 jours de son congé d’allaitement (pardon : "congé maladie ») sur le mois que lui proposait son médecin par conscience professionnelle. Or, elle a été contrôlée pendant cet arrêt maladie ainsi que sa collègue dans la même situation. Et.. le contrôleur était pro-allaitement, il lui a même proposé de la prolonger !!! "
Christelle
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" Voici ma petite histoire... Depuis des années, je me demande si je pourrais allaiter, au gré des réponses des différentes gynécologues qui m'ont suivie. C'est lors de ma grossesse que j'ai eu un brin d'espoir, quand ma sage-femme m'a dit qu'il fallait essayer, m'a conseillée et m'a aidée à mettre tous les chances de mon côté. Puis ma fille est née. A nous deux, nous avons cumulé quelques difficultés (des bouts de sein rétractés, une hyperlactation, une immaturité à téter) et j'ai dû utiliser des bouts de sein en silicone pour l'allaiter. Aujourd'hui, ma puce a 7 mois, je l'allaite encore deux à trois fois par jour. C'est un beau moment de tendresse entre nous et je crois que ni l'une ni l'autre ne sommes prêtes à arrêter. Je voudrais également ajouter qu'un de vos conseils (lors d'une de vos réunions à la maternité) m'a été très utile. Vous nous aviez expliqué que, si à un moment nous en avions marre d'allaiter, il valait mieux se dire "si ça continue j'arrête dans 2 jours" et non pas arrêter sur un coup de tête. Le premier mois, j'en ai parfois eu marre car j'avais le sentiment d'être sollicitée en permanence par ma fille, et gérer le fait d'être à la fois mère et nourricière semblait un peu lourd pour mes épaules. Le simple fait de m'autoriser à dire que j'allais bientôt arrêter m'a soulagée. Et, quelques heures de sommeil plus tard, une fois le creux de la vague passé, il m'a toujours semblé évident que j'allais continuer à allaiter..."
Charlotte
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Deux enfants, deux Allaitement distincts. Le 1er, un petit gars du nom de Marius, petit gabarit à la naissance mais gros tétouilleur. Le sein était pour lui, source d'apaisement, de câlins, d'endormissement mais aussi source nourricière. Rien ne pouvait perturber ce petit être lorsqu'il tétait. La fin de l'aventure ne s'est pas faite naturellement mais mes ressources étaient tournées vers le petit bonhomme en moi.
Quelques mois plus tard, Léopold est venu au monde et pour lui les tétées étaient synonymes de bons festins. Les tétées câlins, endormissements connus avec son grand frère n'étaient pas ses préférées et donc je suis passée d'un serial tétouilleur à un serial téteur. Léopold a choisi d'arrêter cette aventure lactée vers ses 18 mois, les bons petits plats ayant meilleure augure à ses yeux. Je garde de ces deux aventures, de belles images et ressentis gravés en moi ainsi qu’une belle complicité avec mes deux loulous.
Elsie
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" Mais tu as toujours du lait ?
Mais quand vas-tu arrêter d'allaiter !
Cela doit te fatiguer !
Maintenant tu es grande, tu ne peux plus prendre le sein de maman !
Maintenant tu es grande, le lait de maman n'est plus bon pour toi !
L'allaitement, pour moi, s'est arrêté après les 4 ans de ma deuxième fille, tout doucement et à sa demande nette, tout naturellement.
Ma première fille a tété plus longtemps que sa petite sœur, elle était dans sa 7ème année quand elle s'est arrêtée d’elle-même. Sur la fin cela devenait occasionnel.
Tout ça pour conclure que le co-allaitement c'est possible !
Que l'allaitement reste et perdure le plus longtemps possible chez les nouvelles mamans. Quoi de plus naturel pour le nourrisson ! "
Corine
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"Eh bien, je suis assez surprise de ne pas avoir eu d'idées reçues sur la question de l’allaitement. Par contre, j'ai eu l'échos d'une copine dont la mère lui disait d'arrêter de parler en allaitant, car son bébé risquait d'avaler de l'air !
Finalement je n'ai peut-être pas eu d'idées reçues, car je n’ai pas de mère pour m'en dire (NB sa mère était décédée avant la naissance des enfants) ! De plus, j'ai vraiment avancé dans l'allaitement sans avoir rien lu, seulement ce que j'avais entendu à la préparation à l'accouchement et aussi par rapport à ce que m'en avait dit 2 amies. Je crois que je me suis vraiment laissé porter par mon bébé au moment où j'allaitais."
Gaëlle
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"Parce que bien avant qu'il soit né, ma décision était arrêtée :
il sera allaité
Parce que lorsque vinrent les premières difficultés, mille questions je me suis posée :
Pourquoi n'est-ce pas inné ? M'entêter pourrait-il le mettre en danger ?
Parce que pleurer n'a rien changé,
Parce qu'être écouté, conseillé et appuyé, là était la clé,
Parce qu'une fois les problèmes réglés, reste une seule vérité :
Malgré les neuf mois passés à le porter,
Malgré l'accouchement naturel peu médicalisé,
Malgré les heures passées à le regarder somnoler,
C'est bien ma difficulté d'allaiter qui m'a dévoilé le sens caché du mot maternité.
En femme lactée je me suis transformée !
Merci à toutes les petites fées qui m'accompagnent sur le chemin de ma voie lactée ! "
M.
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" Lorsque j'avais des soucis d'allaitement (parce que même puéricultrice, j'en avais !!!), je savais tout de suite où me diriger donc je n'ai pas eu d'expériences négatives. Sauf que quand ma fille ne prenait pas de poids les 1ers temps, j'ai beaucoup entendu dans mon entourage "ton lait n'est surement pas assez nourrissant !"
Personnellement, ma mère a arrêté de m'allaiter vers 3 mois quand le médecin lui a dit que son lait ne devait plus être assez nourrissant, elle qui avait beaucoup de lait et qui était très motivée (bon certes, il y a 36 ans !). Donc, comme c'était un médecin qui lui avait dit, elle en est convaincue et quoique lui dise sa fille, puéricultrice qui a fait une formation d'allaitement en 2009, IL avait raison !!
Autre anecdote, ma belle-sœur, infirmière en pédiatrie dans l’Est, n'a pris que 15 jours de son congé d’allaitement (pardon : "congé maladie ») sur le mois que lui proposait son médecin par conscience professionnelle. Or, elle a été contrôlée pendant cet arrêt maladie ainsi que sa collègue dans la même situation. Et.. le contrôleur était pro-allaitement, il lui a même proposé de la prolonger !!! "
Christelle
BoutonTitre de la diapositive
" Voici ma petite histoire... Depuis des années, je me demande si je pourrais allaiter, au gré des réponses des différentes gynécologues qui m'ont suivie. C'est lors de ma grossesse que j'ai eu un brin d'espoir, quand ma sage-femme m'a dit qu'il fallait essayer, m'a conseillée et m'a aidée à mettre tous les chances de mon côté. Puis ma fille est née. A nous deux, nous avons cumulé quelques difficultés (des bouts de sein rétractés, une hyperlactation, une immaturité à téter) et j'ai dû utiliser des bouts de sein en silicone pour l'allaiter. Aujourd'hui, ma puce a 7 mois, je l'allaite encore deux à trois fois par jour. C'est un beau moment de tendresse entre nous et je crois que ni l'une ni l'autre ne sommes prêtes à arrêter. Je voudrais également ajouter qu'un de vos conseils (lors d'une de vos réunions à la maternité) m'a été très utile. Vous nous aviez expliqué que, si à un moment nous en avions marre d'allaiter, il valait mieux se dire "si ça continue j'arrête dans 2 jours" et non pas arrêter sur un coup de tête. Le premier mois, j'en ai parfois eu marre car j'avais le sentiment d'être sollicitée en permanence par ma fille, et gérer le fait d'être à la fois mère et nourricière semblait un peu lourd pour mes épaules. Le simple fait de m'autoriser à dire que j'allais bientôt arrêter m'a soulagée. Et, quelques heures de sommeil plus tard, une fois le creux de la vague passé, il m'a toujours semblé évident que j'allais continuer à allaiter..."
Charlotte
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